Bulletin numéro 10

 

  • Il commence par un mot émouvant de notre président Maurice Awoust. La santé déficiente de ce dernier l'avait obligé à donner sa démission.

  • L'habitat à Malonne (7) : le Malpas

  • Chronique du village d'après les recueils des réunions du Conseil municipal. Après un long extrait du livre de J. Hockay "Vivre à Malonne", mention est faite du mayorat de Julien-Joseph Robaux. Le garde-champêtre Dosimont démissionne, le choléra menace... Nombreux sont les Malonnois qui demandent un permis de bâtir. Interdiction est faite aux cultivateurs en retard de paiement d'impôts de retirer leur récolte ! La réparation des chemins de la commune se fait par corvée. Et bien d'autres petits faits souvent révélateurs de l'esprit du village. (G. Thiry)

  • Se réfugier à Malonne : En novembre 1776, arrestation de Fabre d'Églantine, réfugié à Malonne. Bien d'autres ont profité de la séparation entre la Principauté liégeoise et le Comté de Namur pour échapper à la vindicte du Comte. (J. Hockay)

  • Lambert-Joseph Lambillion, auteur du livre de contes savoureux en wallon. (Myriam Marchal-Hamende)

  • 3 objets insolites du métier de boucher (C.Dardenne).

  • Une photo de classe témoin de l'influence du Centenaire de la Belgique : les enfants de cette classe de l'externat, en 1930, sont coiffés de bérets de soldats. (Fernand China).

  • Une carte postale ancienne : vue vers le Tombois prise depuis le Calvaire. Il était alors possible d'apercevoir les uniques occupants du Tombois : les défunts du cimetière de 1868. (G. Thiry)

  • Notre troisième exposition : "Connaissance de Malonne". (G. Thiry).

  • Plaidoyer en faveur de notre dialecte (M. Awoust). Georgette Valtin et J-M. Lambert nous donnent deux textes qui illustrent les propos de M. Awoust.

  • On nous a détraqué le climat... Extraits des annales monastiques où des circonstances climatiques souvent catastrophiques sont rapportées. (Michel Lenoble).

  • Des noyés et de la ...cocotte... En lisant le Recueil des arrêtés et circulaires du Département de Sambre-et-Meuse, nous apprenons " qu'il ne faut plus rouler les noyés dans un tonneau, ni les suspendre par les pieds ". On a fait des progrès depuis ! (G. Thiry)


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